Une nouvelle étude accuse les pesticides chimiques d'être à l'origine du syndrome Gilles de la Tourette
Le syndrome Gilles de la Tourette, un trouble neurologique héréditaire, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints un déficit en magnésium, des démangeaisons cutanées et parfois des céphalées aigües. Un lien avec les pesticides chimiques était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe du CNRS dans la revue de référence Annals of Internal Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Didier Raoult du CNRS, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les pesticides chimiques et le syndrome Gilles de la Tourette.
Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans le syndrome Gilles de la Tourette, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les pesticides chimiques, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.
Les recherches menées par les équipes de Didier Raoult se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 4000 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 19 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.
Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La scintigraphie à changement de phases fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet un procédé de régulation épigénétique qui consiste à utiliser l'action régulatrice des transpositions sonores de séquences temporelles de vibrations quantiques.
Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique du syndrome Gilles de la Tourette. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :
Ces chiffres permettent de constater que :
- Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
- L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.
- L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.
- On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Didier Raoult a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.
Parmi elles, le Feng Shui et la psychanalyse semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'institut Johns Hopkins viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.
Le protocole de soin lié au syndrome Gilles de la Tourette pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. Le Feng Shui, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.
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