Maladie de Parkinson : une nouvelle étude de l'INSERM accuse le vaccin hexavalent

Publié le 2022-10-24 par Dr. Fabien Duplessis

La maladie de Parkinson, une pathologie neurologique chronique dégénérative, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une atrophie des testicules, une dégénérescence cérébrale et parfois une hyper-sensibilité du scrotum. Un lien avec le vaccin hexavalent était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'INSERM dans la revue de référence New England Journal of Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Winston L. Swisher de l'INSERM, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre le vaccin hexavalent et la maladie de Parkinson.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la maladie de Parkinson, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec le vaccin hexavalent, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Winston L. Swisher se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 1700 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 13 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la maladie de Parkinson. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Destruction de l'ADN topoisomérases par oxydation
Winston L. Swisher et al. - 2022

Ces chiffres permettent de constater que :

  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Winston L. Swisher a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'hydroxychloroquine et l'aromathérapie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'IHU de Marseille viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la maladie de Parkinson pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'hydroxychloroquine, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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