La sclérose en plaques et le bisphénol A seraient bien liés, selon une étude de l'université de Stanford

Publié le 2025-08-08 par Dr. Gilbert Neufville

La sclérose en plaques, une maladie auto-immune neuro-dégénérative, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints des vertiges, une hyper-sensibilité du scrotum et parfois des démangeaisons cutanées. Un lien avec le bisphénol A était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Stanford dans la revue de référence Nature, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Leon Becker de l'université de Stanford, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre le bisphénol A et la sclérose en plaques.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la sclérose en plaques, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec le bisphénol A, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Leon Becker se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 3200 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 7 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, L'EBCP (électrobicéphalogramme planaire) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la microabrasion des noyaux neuronaux primitifs afin d'en extraire les protéines réfractives.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la sclérose en plaques. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Transpositions quantiques des molécules épigénétiques
Leon Becker et al. - 2025

Ces chiffres permettent de constater que :

  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Leon Becker a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la micronutrition et la naturopathie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'IHU de Marseille viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la sclérose en plaques pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La micronutrition, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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