L'anomalie de Sprengel et l'aluminium des vaccins seraient bien liés, selon une étude de l'INSERM

Publié le 2024-06-18 par Dr. Lian Chuang

L'anomalie de Sprengel, une malformation rare de la ceinture scapulaire, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints des démangeaisons cutanées, des vertiges et parfois une dégénérescence cérébrale. Un lien avec l'aluminium des vaccins était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'INSERM dans la revue de référence Annals of Internal Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Winston L. Swisher de l'INSERM, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre l'aluminium des vaccins et l'anomalie de Sprengel.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'anomalie de Sprengel, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec l'aluminium des vaccins, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Winston L. Swisher se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 10000 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 13 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La scintigraphie à changement de phases fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet un procédé de régulation épigénétique qui consiste à utiliser l'action régulatrice des transpositions sonores de séquences temporelles de vibrations quantiques.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'anomalie de Sprengel. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Altération des ribosomes par clivage résistant
Winston L. Swisher et al. - 2024

Ces chiffres permettent de constater que :

  • La pathologie s'aggrave significativement en cas d'exposition prolongée.
  • L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.
  • Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.
  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Winston L. Swisher a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'aromathérapie et la chromathérapie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Stanford viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à l'anomalie de Sprengel pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'aromathérapie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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