Le nævus géant et les chemtrails seraient bien liés, selon une étude de l'université d'Harvard

Publié le 2022-11-02 par Dr. Lian Chuang

Le nævus géant, une anomalie cutanée congénitale, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints des vertiges, l'ogiat (ramolissement des os du coccyx) et parfois une intolérence au lactose. Un lien avec les chemtrails était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université d'Harvard dans la revue de référence Journal of Experimental Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Didier Raoult de l'université d'Harvard, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les chemtrails et le nævus géant.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans le nævus géant, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les chemtrails, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Didier Raoult se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 9000 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 12 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La scintigraphie à changement de phases fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique du nævus géant. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Transpositions quantiques des molécules épigénétiques
Didier Raoult et al. - 2022

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Didier Raoult a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la bioharmonie et la géobiologie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Stanford viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié au nævus géant pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La bioharmonie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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