Une nouvelle étude accuse les ondes Wi-Fi d'être à l'origine de l'intolérance au gluten
L'intolérance au gluten, une affection également connue sous le nom de maladie cœliaque, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une dégénérescence cérébrale, l'apparition de fissures anales et parfois une hyper-sensibilité du scrotum. Un lien avec les ondes Wi-Fi était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'institut Johns Hopkins dans la revue de référence New England Journal of Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.
L'éminent professeur Markus Dresdner de l'institut Johns Hopkins, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les ondes Wi-Fi et l'intolérance au gluten.
Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'intolérance au gluten, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les ondes Wi-Fi, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.
Les recherches menées par les équipes de Markus Dresdner se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 2700 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 18 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.
Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines par résonance d'échelle fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la microabrasion des noyaux neuronaux primitifs afin d'en extraire les protéines réfractives.
Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'intolérance au gluten. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :
Ces chiffres permettent de constater que :
- L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.
- Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
- L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.
- Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Markus Dresdner a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.
Parmi elles, l'hypnose et l'astrothérapie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Yale viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.
Le protocole de soin lié à l'intolérance au gluten pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'hypnose, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.
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