Une équipe de chercheurs de l'université d'Oxford confirme la relation entre la maladie de Parkinson et les pesticides chimiques

Publié le 2022-06-06 par Dr. Michael Ackermann

La maladie de Parkinson, une pathologie neurologique chronique dégénérative, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une hyper-sensibilité du scrotum, l'apparition de fissures anales et parfois une intolérence au lactose. Un lien avec les pesticides chimiques était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université d'Oxford dans la revue de référence Nature, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Leon Becker de l'université d'Oxford, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les pesticides chimiques et la maladie de Parkinson.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la maladie de Parkinson, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les pesticides chimiques, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Leon Becker se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 8100 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 9 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, L'EBCP (électrobicéphalogramme planaire) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet un procédé de régulation épigénétique qui consiste à utiliser l'action régulatrice des transpositions sonores de séquences temporelles de vibrations quantiques.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la maladie de Parkinson. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Perturbations cytoplasmique de l'hémoglobine A
Leon Becker et al. - 2022

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.
  • La pathologie s'aggrave significativement en cas d'exposition prolongée.
  • L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Leon Becker a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la micronutrition et l'hypnose semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Cambridge viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la maladie de Parkinson pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La micronutrition, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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