De nouvelles preuves scientifiques associent la sclérose en plaques et les pesticides chimiques

Publié le 2021-10-17 par Pr. Édith Baron

La sclérose en plaques, une maladie auto-immune neuro-dégénérative, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une nécrose putride des sphincters, la pécole (décollement du tissu conjonctif génital) et parfois des diarrhées explosives. Un lien avec les pesticides chimiques était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe du CNRS dans la revue de référence Annals of Internal Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Marc Azari du CNRS, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les pesticides chimiques et la sclérose en plaques.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la sclérose en plaques, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les pesticides chimiques, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Marc Azari se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 1900 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 3 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La chromatophorèse booléenne fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet un procédé de régulation épigénétique qui consiste à utiliser l'action régulatrice des transpositions sonores de séquences temporelles de vibrations quantiques.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la sclérose en plaques. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Modification du glucose par action de la ténoposide
Marc Azari et al. - 2021

Ces chiffres permettent de constater que :

  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.
  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.
  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Marc Azari a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la psychanalyse et le Feng Shui semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Cambridge viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la sclérose en plaques pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La psychanalyse, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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