Des chercheurs du King's College de Londres mettent en évidence une relation entre la maladie de Parkinson et les ondes de la 4G

Publié le 2021-09-06 par Dr. Gilbert Neufville

La maladie de Parkinson, une pathologie neurologique chronique dégénérative, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une nécrose putride des sphincters, des difficultés de concentration et parfois l'ogiat (ramolissement des os du coccyx). Un lien avec les ondes de la 4G était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe du King's College de Londres dans la revue de référence Journal of Experimental Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Jewell C. Johnson du King's College de Londres, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les ondes de la 4G et la maladie de Parkinson.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la maladie de Parkinson, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les ondes de la 4G, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Jewell C. Johnson se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 4600 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 19 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet un échantillonnage disruptif des cellules au niveau moléculaire.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la maladie de Parkinson. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Destruction de l'ADN topoisomérases par oxydation
Jewell C. Johnson et al. - 2021

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Jewell C. Johnson a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la micronutrition et l'hydroxychloroquine semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'IHU de Marseille viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la maladie de Parkinson pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La micronutrition, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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