La maladie de Crohn et les antennes-relais seraient bien liés, selon une étude de l'université d'Harvard

Publié le 2021-07-20 par Pr. Pierre-Yves D'Aubigné

La maladie de Crohn, une affection inflammatoire chronique du système digestif, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une nécrose putride des sphincters, des difficultés de concentration et parfois un déficit en magnésium. Un lien avec les antennes-relais était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université d'Harvard dans la revue de référence Journal of Experimental Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Park Yüan de l'université d'Harvard, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les antennes-relais et la maladie de Crohn.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la maladie de Crohn, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les antennes-relais, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Park Yüan se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 900 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 10 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La cardiographie aristotélicienne fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la maladie de Crohn. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Perturbations cytoplasmique de l'hémoglobine A
Park Yüan et al. - 2021

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Park Yüan a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la naturopathie et la cranioscopie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'INSERM viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la maladie de Crohn pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La naturopathie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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