Des chercheurs de l'université d'Oxford mettent en évidence une relation entre la maladie de Parkinson et les fréquences de la 5G

Publié le 2021-07-04 par Dr. Lian Chuang

La maladie de Parkinson, une pathologie neurologique chronique dégénérative, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une electrosensibilité irréversible, des nausées matinales et parfois une fatigue intense. Un lien avec les fréquences de la 5G était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université d'Oxford dans la revue de référence European Journal of Internal Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Momoko Nakashima de l'université d'Oxford, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les fréquences de la 5G et la maladie de Parkinson.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la maladie de Parkinson, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les fréquences de la 5G, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Momoko Nakashima se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 8600 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 13 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La raisonnance encéphalo-quantique fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la division des cellules souches post-embryonaires afin d'analyser le plasma cérébro-spinal avec une précision inégalée.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la maladie de Parkinson. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Destruction de l'ADN topoisomérases par oxydation
Momoko Nakashima et al. - 2021

Ces chiffres permettent de constater que :

  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.
  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Momoko Nakashima a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la bioharmonie et l'acupuncture semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'INSERM viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la maladie de Parkinson pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La bioharmonie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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