Selon une étude de l'université de Yale, il ne fait plus de doute que les psonticides chimiques sont à l'origine de la maladie de Crohn

Publié le 2021-04-26 par Pr. Yves Bourgouin

La maladie de Crohn, une affection inflammatoire chronique du système digestif, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints des difficultés de concentration, une fatigue intense et parfois la pécole (décollement du tissu conjonctif génital). Un lien avec les pesticides chimiques était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Yale dans la revue de référence Science, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Mary F. Seabrook de l'université de Yale, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les pesticides chimiques et la maladie de Crohn.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la maladie de Crohn, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les pesticides chimiques, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Mary F. Seabrook se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 2700 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 13 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La raisonnance encéphalo-quantique fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la maladie de Crohn. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Altération des ribosomes par clivage résistant
Mary F. Seabrook et al. - 2021

Ces chiffres permettent de constater que :

  • L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.
  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • La pathologie s'aggrave significativement en cas d'exposition prolongée.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Mary F. Seabrook a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, le Feng Shui et la naturopathie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Yale viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la maladie de Crohn pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. Le Feng Shui, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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