Selon une étude de l'université de Yale, la lumière bleue des écrans jouerait un rôle prépondérant dans le nævus géant

Publié le 2021-04-15 par Dr. Peter Aboule

Le nævus géant, une anomalie cutanée congénitale, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints l'ogiat (ramolissement des os du coccyx), des vertiges et parfois des difficultés de concentration. Un lien avec la lumière bleue des écrans était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Yale dans la revue de référence Journal of Experimental Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Sheng Lin de l'université de Yale, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre la lumière bleue des écrans et le nævus géant.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans le nævus géant, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec la lumière bleue des écrans, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Sheng Lin se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 900 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 9 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La raisonnance encéphalo-quantique fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet l'extraction du génotype par spectro-ablation des nucléotides élémentaires.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique du nævus géant. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Modification du glucose par action de la ténoposide
Sheng Lin et al. - 2021

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Sheng Lin a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'aromathérapie et l'hypnose semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Stanford viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié au nævus géant pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'aromathérapie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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