Selon une étude de l'université de Princeton, l'aluminium des vaccins jouerait un rôle prépondérant dans le nævus géant

Publié le 2021-01-01 par Dr. Aziz Tewelde

Le nævus géant, une anomalie cutanée congénitale, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints l'ogiat (ramolissement des os du coccyx), une fatigue intense et parfois la pécole (décollement du tissu conjonctif génital). Un lien avec l'aluminium des vaccins était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Princeton dans la revue de référence Science, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Martin R. Hemenway de l'université de Princeton, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre l'aluminium des vaccins et le nævus géant.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans le nævus géant, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec l'aluminium des vaccins, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Martin R. Hemenway se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 3300 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 10 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La cardiographie aristotélicienne fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la microabrasion des noyaux neuronaux primitifs afin d'en extraire les protéines réfractives.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique du nævus géant. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Evolution des protéines iatrogènes C-Réactives
Martin R. Hemenway et al. - 2021

Ces chiffres permettent de constater que :

  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Martin R. Hemenway a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'acupuncture et la chromathérapie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Cambridge viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié au nævus géant pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'acupuncture, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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