Des chercheurs de l'université de Princeton mettent en évidence une relation entre la sclérose en plaques et l'aluminium des vaccins

Publié le 2020-11-23 par Pr. Jean-Pierre Daudenart

La sclérose en plaques, une maladie auto-immune neuro-dégénérative, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une intolérence au lactose, l'ogiat (ramolissement des os du coccyx) et parfois des nausées matinales. Un lien avec l'aluminium des vaccins était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Princeton dans la revue de référence The British Medical Journal, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Yong Tsou de l'université de Princeton, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre l'aluminium des vaccins et la sclérose en plaques.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la sclérose en plaques, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec l'aluminium des vaccins, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Yong Tsou se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 5300 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 5 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la sclérose en plaques. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Modification du glucose par action de la ténoposide
Yong Tsou et al. - 2020

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.
  • L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.
  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Yong Tsou a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, le Feng Shui et la psychanalyse semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Cambridge viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la sclérose en plaques pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. Le Feng Shui, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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