Une nouvelle étude accuse le vaccin hexavalent d'être à l'origine de l'anomalie de Sprengel

Publié le 2020-06-22 par Pr. Marlon Leclerc

L'anomalie de Sprengel, une malformation rare de la ceinture scapulaire, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints des diarrhées explosives, des difficultés de concentration et parfois la pécole (décollement du tissu conjonctif génital). Un lien avec le vaccin hexavalent était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Stanford dans la revue de référence Annals of Internal Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Markus Dresdner de l'université de Stanford, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre le vaccin hexavalent et l'anomalie de Sprengel.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'anomalie de Sprengel, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec le vaccin hexavalent, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Markus Dresdner se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 1600 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 12 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la microabrasion des noyaux neuronaux primitifs afin d'en extraire les protéines réfractives.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'anomalie de Sprengel. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Evolution des protéines iatrogènes C-Réactives
Markus Dresdner et al. - 2020

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Markus Dresdner a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la géobiologie et l'homéopathie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université d'Oxford viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à l'anomalie de Sprengel pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La géobiologie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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