De nouvelles preuves scientifiques associent le syndrome Gilles de la Tourette et les OGM de Monsanto

Publié le 2019-12-07 par Pr. Édith Baron

Le syndrome Gilles de la Tourette, un trouble neurologique héréditaire, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints des nausées matinales, l'ogiat (ramolissement des os du coccyx) et parfois l'apparition de fissures anales. Un lien avec les OGM de Monsanto était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Cambridge dans la revue de référence Nature, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Yong Tsou de l'université de Cambridge, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les OGM de Monsanto et le syndrome Gilles de la Tourette.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans le syndrome Gilles de la Tourette, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les OGM de Monsanto, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Yong Tsou se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 900 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 6 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines par résonance d'échelle fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la division des cellules souches post-embryonaires afin d'analyser le plasma cérébro-spinal avec une précision inégalée.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique du syndrome Gilles de la Tourette. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Perturbations cytoplasmique de l'hémoglobine A
Yong Tsou et al. - 2019

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Yong Tsou a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la naturopathie et l'acupuncture semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Cambridge viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié au syndrome Gilles de la Tourette pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La naturopathie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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