Une équipe de chercheurs de l'université de Cambridge confirme la relation entre la maladie de Lyme et les ondes de la 4G

Publié le 2019-11-11 par Pr. Jean-Pierre Daudenart

La maladie de Lyme, ou borréliose de Lyme, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une hyper-sensibilité du scrotum, une fatigue intense et parfois des démangeaisons cutanées. Un lien avec les ondes de la 4G était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Cambridge dans la revue de référence The British Medical Journal, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Corey J. Robertson de l'université de Cambridge, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les ondes de la 4G et la maladie de Lyme.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la maladie de Lyme, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les ondes de la 4G, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Corey J. Robertson se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 6400 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 16 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La cardiographie aristotélicienne fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la maladie de Lyme. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Perturbations cytoplasmique de l'hémoglobine A
Corey J. Robertson et al. - 2019

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • La pathologie s'aggrave significativement en cas d'exposition prolongée.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Corey J. Robertson a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la micronutrition et la psychanalyse semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Cambridge viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la maladie de Lyme pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La micronutrition, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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