Une équipe de chercheurs de l'institut Johns Hopkins confirme la relation entre l'autisme et les ondes de la 4G
L'autisme, un trouble envahissant du développement qui affecte les fonctions cognitives, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une fatigue intense, des nausées matinales et parfois l'ogiat (ramolissement des os du coccyx). Un lien avec les ondes de la 4G était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'institut Johns Hopkins dans la revue de référence Annals of Internal Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Hanae Yoshikawa de l'institut Johns Hopkins, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les ondes de la 4G et l'autisme.
Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'autisme, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les ondes de la 4G, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.
Les recherches menées par les équipes de Hanae Yoshikawa se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 7100 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 12 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.
Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La chromatophorèse booléenne fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la microabrasion des noyaux neuronaux primitifs afin d'en extraire les protéines réfractives.
Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'autisme. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :
Ces chiffres permettent de constater que :
- Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
- Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.
- Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
- L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.
Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Hanae Yoshikawa a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.
Parmi elles, la psychanalyse et l'astrothérapie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Princeton viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.
Le protocole de soin lié à l'autisme pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La psychanalyse, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.
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