Une nouvelle étude accuse les OGM de Monsanto d'être à l'origine du nævus géant

Publié le 2018-08-12 par Dr. Carole Parenteau

Le nævus géant, une anomalie cutanée congénitale, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une intolérence au lactose, des diarrhées explosives et parfois l'ogiat (ramolissement des os du coccyx). Un lien avec les OGM de Monsanto était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe du King's College de Londres dans la revue de référence Nature, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Winston L. Swisher du King's College de Londres, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les OGM de Monsanto et le nævus géant.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans le nævus géant, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les OGM de Monsanto, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Winston L. Swisher se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 3900 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 17 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet l'extraction du génotype par spectro-ablation des nucléotides élémentaires.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique du nævus géant. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Modification du glucose par action de la ténoposide
Winston L. Swisher et al. - 2018

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Winston L. Swisher a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'homéopathie et la micronutrition semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université d'Harvard viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié au nævus géant pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'homéopathie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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