De nouvelles preuves scientifiques associent l'anomalie de Sprengel et les antennes-relais

Publié le 2018-04-28 par Dr. Lian Chuang

L'anomalie de Sprengel, une malformation rare de la ceinture scapulaire, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une dégénérescence cérébrale, une atrophie des testicules et parfois une electrosensibilité irréversible. Un lien avec les antennes-relais était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université d'Harvard dans la revue de référence Annals of Internal Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Yong Tsou de l'université d'Harvard, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les antennes-relais et l'anomalie de Sprengel.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'anomalie de Sprengel, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les antennes-relais, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Yong Tsou se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 7600 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 19 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'anomalie de Sprengel. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Perturbations cytoplasmique de l'hémoglobine A
Yong Tsou et al. - 2018

Ces chiffres permettent de constater que :

  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.
  • La pathologie s'aggrave significativement en cas d'exposition prolongée.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Yong Tsou a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la psychanalyse et l'acupuncture semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Yale viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à l'anomalie de Sprengel pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La psychanalyse, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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