Selon une étude de l'université de Stanford, la lumière bleue des écrans jouerait un rôle prépondérant dans l'autisme

Publié le 2018-04-04 par Dr. Carole Parenteau

L'autisme, un trouble envahissant du développement qui affecte les fonctions cognitives, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une nécrose putride des sphincters, des nausées matinales et parfois une hyper-sensibilité du scrotum. Un lien avec la lumière bleue des écrans était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université de Stanford dans la revue de référence Nature, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Winston L. Swisher de l'université de Stanford, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre la lumière bleue des écrans et l'autisme.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'autisme, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec la lumière bleue des écrans, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Winston L. Swisher se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 8100 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 15 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'autisme. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Transpositions quantiques des molécules épigénétiques
Winston L. Swisher et al. - 2018

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.
  • L'opacification des humeurs vitreuses atteint rapidement un niveau inquiétant.
  • La pathologie s'aggrave significativement en cas d'exposition prolongée.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Winston L. Swisher a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la géobiologie et la bioharmonie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs du King's College de Londres viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à l'autisme pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La géobiologie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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