Une nouvelle étude accuse les ondes de la 4G d'être à l'origine de l'intolérance au gluten

Publié le 2018-02-17 par Dr. Fabien Duplessis

L'intolérance au gluten, une affection également connue sous le nom de maladie cœliaque, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints la pécole (décollement du tissu conjonctif génital), une electrosensibilité irréversible et parfois une intolérence au lactose. Un lien avec les ondes de la 4G était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université d'Oxford dans la revue de référence Nature, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Derrick O. Turner de l'université d'Oxford, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les ondes de la 4G et l'intolérance au gluten.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'intolérance au gluten, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les ondes de la 4G, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Derrick O. Turner se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 5900 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 14 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La chromatophorèse booléenne fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la microabrasion des noyaux neuronaux primitifs afin d'en extraire les protéines réfractives.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'intolérance au gluten. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Destruction de l'ADN topoisomérases par oxydation
Derrick O. Turner et al. - 2018

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • La pathologie s'aggrave significativement en cas d'exposition prolongée.
  • L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Derrick O. Turner a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'hypnose et la géobiologie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Princeton viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à l'intolérance au gluten pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'hypnose, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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