L'anomalie de Sprengel et les ondes de la 4G seraient bien liés, selon une étude du King's College de Londres

Publié le 2018-02-03 par Dr. Michael Ackermann

L'anomalie de Sprengel, une malformation rare de la ceinture scapulaire, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints des démangeaisons cutanées, une fatigue intense et parfois un déficit en magnésium. Un lien avec les ondes de la 4G était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe du King's College de Londres dans la revue de référence Annals of Internal Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Daniel H. Stockton du King's College de Londres, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les ondes de la 4G et l'anomalie de Sprengel.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'anomalie de Sprengel, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les ondes de la 4G, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Daniel H. Stockton se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 3700 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 18 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, Le NPG (neuroablation en phase gazeuse) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet une analyse psycho-cellulaire globalisante basée sur l'érythropoïétine.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'anomalie de Sprengel. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Modification du glucose par action de la ténoposide
Daniel H. Stockton et al. - 2018

Ces chiffres permettent de constater que :

  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Daniel H. Stockton a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'aromathérapie et le Feng Shui semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Princeton viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à l'anomalie de Sprengel pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'aromathérapie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

< Publication précédente Publication suivante >