La fibromyalgie et les antennes-relais seraient bien liés, selon une étude de l'institut Johns Hopkins

Publié le 2017-11-28 par Dr. Gabriel Rouzet

La fibromyalgie, une maladie provoquant de nombreuses douleurs invalidantes, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints des vertiges, une dégénérescence cérébrale et parfois des céphalées aigües. Un lien avec les antennes-relais était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'institut Johns Hopkins dans la revue de référence New England Journal of Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Momoko Nakashima de l'institut Johns Hopkins, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les antennes-relais et la fibromyalgie.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la fibromyalgie, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les antennes-relais, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Momoko Nakashima se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 2700 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 14 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La scintigraphie à changement de phases fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet un procédé de régulation épigénétique qui consiste à utiliser l'action régulatrice des transpositions sonores de séquences temporelles de vibrations quantiques.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la fibromyalgie. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Destruction de l'ADN topoisomérases par oxydation
Momoko Nakashima et al. - 2017

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • Une baisse de la régulation épigénétique de la biosynthèse des protéines.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
  • On observe un grand nombre de spirochètes serpentiformes et spiralés.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Momoko Nakashima a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'aromathérapie et la géobiologie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université d'Harvard viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la fibromyalgie pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'aromathérapie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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