Des chercheurs de l'université d'Oxford mettent en évidence une relation entre la maladie de Lyme et le vaccin contre l'hépatite B

Publié le 2017-08-25 par Dr. Klaus Pfeiffer

La maladie de Lyme, ou borréliose de Lyme, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une fatigue intense, une hyper-sensibilité du scrotum et parfois des vertiges. Un lien avec le vaccin contre l'hépatite B était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'université d'Oxford dans la revue de référence The British Medical Journal, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Yong Tsou de l'université d'Oxford, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre le vaccin contre l'hépatite B et la maladie de Lyme.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans la maladie de Lyme, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec le vaccin contre l'hépatite B, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Yong Tsou se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 1800 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 11 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, La chromatophorèse booléenne fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet un échantillonnage disruptif des cellules au niveau moléculaire.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de la maladie de Lyme. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Impact synthétique sur le remodelage de la chromatine
Yong Tsou et al. - 2017

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.
  • Le pourcentage global des noyaux cellulaires sains décroit régulièrement.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
  • L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Yong Tsou a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'hypnose et la bioharmonie semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Stanford viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à la maladie de Lyme pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'hypnose, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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