Selon une étude de l'INSERM, il ne fait plus de doute que les compteurs Linky sont à l'origine de l'hyperkératose lenticulaire

Publié le 2017-06-13 par Dr. Hervé Robillard

L'hyperkératose lenticulaire, une dermatose rare de transmission autosomique dominante, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints un déficit en magnésium, l'apparition de fissures anales et parfois des nausées matinales. Un lien avec les compteurs Linky était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe de l'INSERM dans la revue de référence The British Medical Journal, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Jewell C. Johnson de l'INSERM, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les compteurs Linky et l'hyperkératose lenticulaire.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans l'hyperkératose lenticulaire, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les compteurs Linky, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Jewell C. Johnson se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 2500 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 3 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, L'EBCP (électrobicéphalogramme planaire) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet la microabrasion des noyaux neuronaux primitifs afin d'en extraire les protéines réfractives.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique de l'hyperkératose lenticulaire. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Modification du glucose par action de la ténoposide
Jewell C. Johnson et al. - 2017

Ces chiffres permettent de constater que :

  • L'influence des perturbateurs supranerveux s'accroit avec le temps.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • Le groupe témoin (sous placébo) n'est pas concerné par les altérations.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Jewell C. Johnson a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, la géobiologie et la psychanalyse semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs de l'université de Stanford viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié à l'hyperkératose lenticulaire pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. La géobiologie, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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