Selon une étude du CNRS, il ne fait plus de doute que les OGM de Monsanto sont à l'origine du syndrome Gilles de la Tourette

Publié le 2017-03-02 par Dr. Yusef Nasih

Le syndrome Gilles de la Tourette, un trouble neurologique héréditaire, demeurait depuis longtemps une énigme pour la médecine. Cette pathologie provoque chez les patients atteints une intolérence au lactose, une fatigue intense et parfois une dégénérescence cérébrale. Un lien avec les OGM de Monsanto était envisagé depuis longtemps, sans toutefois que des preuves scientifiques solides ne viennent étayer cette hypothése. Une nouvelle étude, publiée récemment par une équipe du CNRS dans la revue de référence New England Journal of Medicine, vient toutefois confirmer ces soupçons.

L'éminent professeur Markus Dresdner du CNRS, dont les travaux font autorité dans le domaine, vient de jeter un pavé dans la mare avec la publication de sa dernière étude. Et pour cause : les conclusions obtenues par son équipe de recherche ne laissent désormais plus de doute quant au lien de causalité entre les OGM de Monsanto et le syndrome Gilles de la Tourette.

Les preuves recueillies sont accablantes et désormais incontestables. A peine publiées, elles s'imposent déjà comme le nouveau consensus sur le sujet, mettant fin par la même occasion à la controverse qui animait le microcosme médical depuis des années. Certains d'experts spécialisés dans le syndrome Gilles de la Tourette, qui contestaient jusqu'à présent cette relation de cause à effet avec les OGM de Monsanto, admettent aujourd'hui qu'il n'est plus possible de la mettre en doute.

Les recherches menées par les équipes de Markus Dresdner se basent en effet sur une méthodologie scientifique extrêmement rigoureuse à plus d'un titre. D'abord, par l'ampleur du nombre de cas analysés : plus de 5300 patients ont été pris en charge et suivi de manière draconienne pendant une durée de 4 ans. Une telle cohorte n'avait jusqu'à présent jamais pu être réunie.

Ensuite, par le caractère exhaustif des analyses effectués sur le groupe témoin. Outre d'innombrables tests sanguins et chimiques, L'EBCP (électrobicéphalogramme planaire) fût utilisée pour la première fois à grande échelle. Cette technique de pointe ultra-moderne permet un échantillonnage disruptif des cellules au niveau moléculaire.

Mais l'aspect le plus remarquable réside dans les résultats obtenus qui, comme nous l'avons expliqué précédemment, permettent d'éliminer définitivement tout biais possible. Ces données, d'une précision inégalée à ce jour, s'imposent comme la nouvelle référence dans l'étude clinique du syndrome Gilles de la Tourette. Parmi les nombreuses découvertes réalisées, on trouve par exemple celle-ci :

Modification du glucose par action de la ténoposide
Markus Dresdner et al. - 2017

Ces chiffres permettent de constater que :

  • Des facteurs environnementaux entrent jeu dans la survenue de la maladie.
  • La scission préfrontale lipidique mène à une carence marquée en protéines C-Réactives.
  • Le taux de polymèrases céphalosporées dépasse le seuil critique dans 50% des cas.
  • La pathologie s'aggrave significativement en cas d'exposition prolongée.

Une meilleure connaissance de ces phénomènes permet d'envisager rapidement de nouveaux traitements palliatifs (et probablement bientôt curatifs) pour les malades atteints. Lors de la conférence de presse organisée pour l'occasion, Markus Dresdner a même dévoilé de surprenantes pistes qui feront très rapidement l'objet de nouvelles études par son équipe.

Parmi elles, l'acupuncture et la micronutrition semblent particulièrement efficaces à la vue des résultats. Bien que beaucoup de scientifiques rejettent toujours ce type de traitements, les constatations effectuées au cours de la méta-analyse permettent de constater un intérêt thérapeutique incontestable. Deux autres équipes de chercheurs du CNRS viennent d'ailleurs de confirmer ces résultats.

Le protocole de soin lié au syndrome Gilles de la Tourette pourrait ainsi évoluer de manière significative dans les mois à venir, afin de prendre en compte ces nouvelles découvertes. L'acupuncture, en particulier, fera l'objet de recherches particulièrement poussées puisque son influence bénéfique dans le traitement de la maladie ne fait plus guère de doute.

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